Mais ce voeux est -il réalisable? D'autres écologistes font-ils le même voeux?

- Globalmag, émission télévisée, c'était déjà penché sur la question pour en conclure que l'incinération tout comme l'enterrement étaient source de pollution. J'avais à ce moment là soulever le problème qu'en plus de polluer, l'homme était bien le seul à refuser à participer à la chaîne alimentaire si ce n'est l'action de micro-organisme en cas d'enterrement. Même les animaux grands prédateurs, à leur mort, restituent une masse protéïque aux charognards, et de gros animaux marins échouant au fond des océans nourrissent une foule sous marine.

Et c'est alors qu'une idée merveilleuse m'est venue, associant utilité écologique et douce cérémonie consolatrice à mes proches:

- D'un côté je suis contre la protection des requins et des orques (mais pour la protection des dauphins) car la pêche semble indispensable pour nourrir l'humanité et le seul moyen de limiter la prédation sur un milieu est de limiter les prédateurs, et je choisis l'homme. Si des requins ont changé de comportement, s'approchant plus des côtes, s'attaquant plus facilement à l'homme, c'est peut être parce que la biomasse protéïque diminue et les incitent à chasser ailleurs.

- D'un autre côté, les requins qui décèdent contribuent à la biomasse protéïque des océans. Donc si l'homme remplace les requins, il doit restituer à sa mort une masse protéïque aux océans.

- Pour ma part, j'imaginerais bien que l'on me transporte dans un cerceuil en carton pâte cellulosique comestible jusqu' à un embarcadère sur le canal. Là une péniche m'emporterait jusqu'à un port maritime. Mes amis me dirait un dernier au revoir en jetant une fleur dans l'eau et si un de mes proches en éprouvent le besoin(à eux de voir, le cérémonial c'est pour les proches, les aider dans leur deuil), ils pourraient monter sur la péniche jusqu'au port maritime pour voir partir le bâteau qui rendra mon dû, mon corps à la mer.